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concernant les cafards, ça va un tout petit mieux, je crie que pour ceux >5 cm, les autres je demande poliment un arrêt de mort rapide (Nono est très pro). Avec le Super-Produit-de-la-Mort-qui-Tue, il y en a vraiment moins (2 par jour max).
Le temps est trèèèèèèès chaud, comme en France, les marocains n’arrêtent pas de nous dire que vous suez de chaleur (cf les infos)!
A bientôt !
Archive for juillet, 2015
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mardi, juillet 14th, 2015une ballade sur la corniche
samedi, juillet 11th, 2015Tout près de notre gîte, l’océan bat la côte et un chemin semblant dater d’une ère ancienne, style art déco en ruine, longe la côte. Alors que nous pensions aller à Casablanca, nous préférons finalement faire une pause « automobilistique » pour un peu de nature. Sans aucun regret tant ce spectacle de rochers déchirés et de vagues puissantes s’écrasant avec fracas nous reposa des visites urbaines.
si les plages et la côte n’auraient aucun label bleu pour cause de déchets abandonnés, l’on trouve parfois quelques trésors :
des paysages fracassées, des blocs de pierre déchiquetés….
et nos amis nous ont rejoint sur la plage !! Voici Mëy le lutin joyeux et Sakina, sa jolie maman :
et Hakim et son pote, Harry !
et Faris que je n’ai pas encore eu le temps de photographier, mais ça viendra.
Les jardins exotiques de Bouknadel
samedi, juillet 11th, 2015Entre Rabat et Kenitra, sur la nationale 1, un havre de verdure a été créé par l’ingénieur français Marcel François. Sur 4,5 hectares, étangs, ponts suspendus, bosquets, rivières, labyrinthe, jardins abritent plus de 600 espèces végétales des 5 continents. La fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement a aidé à réhabiliter cet étonnant jardin planté par un amoureux de la nature.
un vivarium nous montre des espèces de mygales, vipères, cobra, lézards, et une volière étale les plumes d’un flamand (en manque de crevettes car blanc), et de faisans et canards divers.
et un minuscule musée nous expose les idées et immenses travaux de Mr François, sis dans son humble maison bleue.
Nous devons discuter de la circulation. C’est très étonnant : il y a de belles autoroutes et nationales, propres et droites. Mais l’encombrement et la circulation y sont très approximatives, piétons traversant à tout moment, avec bébés et paquets, ânes et vélos surchargés sur le bas côté, taxis qui s’arrêtent brutalement sur la voie de droite, rond points incompréhensibles… Bref, il faut être très attentif, la priorité étant plutôt à la plus grosse voiture, comme dirait Hakim ! Néanmoins, malgré toute l’attention de Harry, nous avons pris une prune pour une erreur que nous ne comprendrons jamais. Comme nous n’avons pas compris et que nous sommes étrangers, nous avons eu une ristourne d’amende par un policier « compréhensif ». Ouf !
Ce soir, nous mangeons au restaurant un traditionnel repas pour rompre le jeun du Ramadan.
Une assiette avec dattes, œuf dur, gâteaux sucrés et vache-qui-rit (!) accompagné de jus d’oranges pressées et d’un verre de lait commence ce repas. Nous choisissons un petit tajine ou une sorte de crêpe ultra sucrée (beurre et miel) en plat comsistant accompagné de thé et de pain.
Ceci est fort copieux !!
Maroc, un été chez Hakim
vendredi, juillet 10th, 2015Nous voici en grand voyage de juillet dans la patrie des rois marocains. Nous logeons dans une petite maison accueillante sur la commune de Témara à quelques mètres de la plage. Nous sommes proche de Rabat où vivent nos amis Ez Zanfari qui nous ont invités.
Il y a un très joli jardin, mais la maison abrite un « léger » inconvénient : les cafards ! je suis totalement phobique, ces bestioles sont immenses et semblent faire partie du décor… Mais il y a de redoutable produits qui les anéantissent (temporairement…). Ouf !
Qu’importe, nous avons plein de visites à faire et commençons par la plage de sable, bordée de rochers où s’écrasent les vagues !
On voit des crabes timides par centaine, des hérons blancs peu farouches (sont-ce des hérons Jean ??), des oursins piquants (ouille Nono !), des poissons palots …
A midi Harry tente un tajine avec les nombreuses provisions déposées généreusement par Hakim :
Nous visitons ensuite la Médina ou vieille ville, pleine de ruelles tortueuses et animées, où il est si facile de se perdre, parmi les maisons basses et les étals de nourritures, poissons, gâteaux, fruits, épices… Tout cela dans un fouillis d’odeurs et de cris, de flaques et de mouches, de gens sympas qui s’apostrophent ou vocifèrent, se promènent avec leurs sacs pour préparer le repas du soir.
C’est en effet la période du Ramadan, on ne peut manger qu’à partir de 19h45, le reste de la journée on attend patiemment dans le jeun. nous aussi, un peu, car il n’y a pas de restaurants ou gargotes ouverts dans ces quartiers populaires et il faut respecter ce temps religieux en évitant de manger devant les marocains. Donc on boit dans la voiture, on grignote à la maison …
Après avoir réussi à sortir du souk (grâce à un jeune homme électricien), nous voici devant la Kasbah des Oudaïa, la toute première ville de Rabat, construite par des pillards redoutables, à présent tout de calme face à sa bruyante voisine , la Médina. Ici, les ruelles ont un bleu grec (pour écarter les moustiques. Penser à repeindre la terrasse, d’ailleurs), les jardins sont parfumés et verdoyants, les demeures sont celles de gens humbles ou riches. Un monsieur s’improvise guide (bon, c’est totalement payant en fait, et il faut savoir marchander, ou refuser ! on apprend !).
A bientôt !