Nous voici en grand voyage de juillet dans la patrie des rois marocains. Nous logeons dans une petite maison accueillante sur la commune de Témara à quelques mètres de la plage. Nous sommes proche de Rabat où vivent nos amis Ez Zanfari qui nous ont invités.
Il y a un très joli jardin, mais la maison abrite un « léger » inconvénient : les cafards ! je suis totalement phobique, ces bestioles sont immenses et semblent faire partie du décor… Mais il y a de redoutable produits qui les anéantissent (temporairement…). Ouf !
Qu’importe, nous avons plein de visites à faire et commençons par la plage de sable, bordée de rochers où s’écrasent les vagues !
On voit des crabes timides par centaine, des hérons blancs peu farouches (sont-ce des hérons Jean ??), des oursins piquants (ouille Nono !), des poissons palots …
A midi Harry tente un tajine avec les nombreuses provisions déposées généreusement par Hakim :
Nous visitons ensuite la Médina ou vieille ville, pleine de ruelles tortueuses et animées, où il est si facile de se perdre, parmi les maisons basses et les étals de nourritures, poissons, gâteaux, fruits, épices… Tout cela dans un fouillis d’odeurs et de cris, de flaques et de mouches, de gens sympas qui s’apostrophent ou vocifèrent, se promènent avec leurs sacs pour préparer le repas du soir.
C’est en effet la période du Ramadan, on ne peut manger qu’à partir de 19h45, le reste de la journée on attend patiemment dans le jeun. nous aussi, un peu, car il n’y a pas de restaurants ou gargotes ouverts dans ces quartiers populaires et il faut respecter ce temps religieux en évitant de manger devant les marocains. Donc on boit dans la voiture, on grignote à la maison …
Après avoir réussi à sortir du souk (grâce à un jeune homme électricien), nous voici devant la Kasbah des Oudaïa, la toute première ville de Rabat, construite par des pillards redoutables, à présent tout de calme face à sa bruyante voisine , la Médina. Ici, les ruelles ont un bleu grec (pour écarter les moustiques. Penser à repeindre la terrasse, d’ailleurs), les jardins sont parfumés et verdoyants, les demeures sont celles de gens humbles ou riches. Un monsieur s’improvise guide (bon, c’est totalement payant en fait, et il faut savoir marchander, ou refuser ! on apprend !).
A bientôt !
Votre compte rendu est très intéressant et instructif. Cependant il y a quelques erreurs: le blog contient quelques fautes d’orthographe, la promenade de la plage des contrebandiers à temera date des années 1990 et non pas des années 1920-1930, et la situation sur les routes marocaines s’est améliorée depuis quelques années, le nombre de décès liés aux accidents de la route a diminué grâce à des campagnes de sensibilisation.
Je vous remercie de prendre en compte ces indications.
Commentaire by hodor — 18.7.2015 @ 23:36
merci Hodor pour vos commentaires !
j’aime en effet imaginer sur cette promenade style année 20, Agatha Christie élaborer un Hercule Poirot au Maroc! Par ailleurs, je pense qu’il faut savoir conduire pour comprendre la complexité de la circulation marocaine mais, en effet, les routes et autoroutes sont somptueuses et nous avons bien apprécié leur confort.
A bientôt pour les aventures de français au Maroc
Commentaire by admin — 20.7.2015 @ 22:09